Au Lieutenant des TAGLAïTS

, par mansion

Il n’était pas mort pour la France, quelle France ?

Ni pour l’Algérie, quelle Algérie ?

C’était pour moi qu’il était mort. Il était mort à ma place. Sa mort n’était pas juste. Mourir à la guerre, à cette guerre, était une malchance.

Mourir pour la France, alors qu’une partie de la France crachait sur ses morts ... c’était l’épilogue sinistre d’une mauvaise tragédie.

Autres ouvrages de Philippe HEDOUY :

 Histoire de l’Indochine

 2000 après l’ère Chrétienne

 Une bonne fortune

 Sainte Catherine